AutoLex AI aux RDV des transformations du droit : l’IA générative, levier stratégique pour les directions juridiques.

Lors du Rendez-vous des Transformations du Droit 2024, AutoLex AI a marqué les esprits en dévoilant une vision audacieuse et résolument tournée vers l’avenir : positionner l’IA générative non seulement comme un outil performant, mais surtout comme un véritable allié stratégique des directions juridiques.

Au-delà des promesses et des discours abstraits, c’est un véritable changement de paradigme qui s’amorce, une nouvelle manière de penser et d’agir pour anticiper les enjeux futurs. AutoLex, à travers une solution puissante de revue contractuelle, invite les juristes à s’immerger dans un environnement où l’humain et la machine collaborent pleinement pour atteindre un niveau d’efficacité et de pertinence, ouvrant la voie à un droit plus agile et stratégique.

L’IA : au service d’une nouvelle organisation des tâches juridiques

L’introduction de l’IA dans le secteur juridique ne se limite pas à un simple gain de temps. AutoLex démontre que l’automatisation peut être mise au service d’une réorganisation profonde des tâches. Un exemple intéressant est l’analyse et la revue des contrats, une activité traditionnellement chronophage et fastidieuse. En quelques secondes, les moteurs d’IA les mieux entrainés sont maintenant capables de parcourir des centaines de pages pour détecter des risques, analyser des clauses et proposer des recommandations, tout en s’adaptant aux intérêts internes des entreprises. Cette capacité ne remplace néanmoins pas les juristes, mais enrichit leur rôle. Au lieu de passer des heures sur des revues manuelles, ils peuvent se concentrer sur les décisions stratégiques, comme la négociation des contrats complexes ou l’anticipation des risques réglementaires. Par exemple, un directeur juridique peut utiliser une IA pour s’assurer que la loi applicable et la juridiction spécifiées dans un contrat respectent les politiques internes de l’entreprise, comme privilégier le droit français et la juridiction de Paris pour les contrats européens.

De l’automatisation à l’intelligence juridique stratégique

Ce qui différencie les outils d’IA actuels de leurs prédécesseurs (comme les CLM), ce n’est pas seulement leur vitesse d’exécution, mais leur capacité à comprendre et interpréter le contenu juridique. Les outils de gestion du cycle de vie des contrats (CLM) ont été des pionniers dans l’automatisation des tâches répétitives et la gestion des documents, mais ils ont désormais été surpassés. Et voici les principales raisons :
⁃ Les CLM se limitent souvent à une gestion documentaire basique et manuelle,
⁃ Les CLM peinent à traiter de grands volumes de données de manière efficace,
⁃ Les CLM sont sujets à une intégration complexe et isolée, ce qui ralentit leur déploiement,
⁃ Les CLM sont exposés encore aux erreurs humaines, car leur fonctionnement repose sur des processus souvent manuels et nécessitent une intervention humaine importante pour gérer les exceptions et les analyses complexes.

AutoLex, IA juridique, ne se contente pas de scanner des documents ; elle résume les informations clés, formule des réponses à des questions complexes en langage naturel, et génère des variantes de clauses adaptées à des contextes spécifiques. Cette intelligence contextuelle basée entre autres sur une analyse sémantique transforme les pratiques. Lors de négociations, le juriste peut interroger directement son outil pour savoir si une clause proposée par la partie adverse présente un risque, ou s’il existe une alternative plus favorable. De plus, la capacité à résumer instantanément un document volumineux aide à accélérer les décisions, en rendant l’information immédiatement exploitable !

Une transformation culturelle, pas seulement technologique

Une chose est sûre : l’adoption de l’IA ne concerne pas seulement les outils, mais aussi les mentalités. Les directions juridiques doivent apprendre à intégrer ces nouvelles technologies comme un prolongement de leur expertise. Cela implique de repenser leurs processus, mais aussi de faire évoluer les compétences des équipes. Les juristes de demain devront maîtriser à la fois les fondamentaux du droit et les mécanismes de fonctionnement de ces outils, pour en exploiter tout le potentiel. L’autre enjeu réside dans la confiance. Pour qu’une IA soit pleinement adoptée, elle doit être perçue comme fiable et sécurisée, et pour cela, les tests existent !

À mesure que les solutions d’IA gagnent en maturité, elles redéfinissent le rôle des juristes. Plutôt que de gérer des tâches administratives répétitives, ces derniers peuvent s’impliquer dans des missions plus stratégiques, comme l’anticipation des risques ou le conseil aux dirigeants. Loin de standardiser les pratiques, l’IA libère la créativité des juristes et leur permet d’innover dans leurs approches.

Cette dynamique pose néanmoins des questions cruciales : quelles seront les limites de l’automatisation ? Comment garantir une transparence totale dans les décisions prises par l’IA ? Et surtout, comment maintenir un équilibre entre l’efficacité apportée par la machine et l’expertise irremplaçable de l’humain ?

Enfin, l’IA n’est pas une solution miracle, mais un levier de transformation puissant pour les directions juridiques. En automatisant les tâches chronophages, en offrant une analyse complète et rapide des contrats, et en garantissant une conformité renforcée, elle apporte une véritable valeur ajoutée en interne. Toutefois, sa pleine adoption nécessite une approche globale, intégrant technologie, formation et réflexion stratégique !

Découvrez ici comment AutoLex peut vous aider à optimiser votre département juridique !